Un grand merci aux collègues qui ont accepté de soutenir notre pétition. Il est encore temps de signer ! Nous garderons la pétition ouverte jusqu’au vendredi 20 octobre. De nombreux inspecteurs ont accompagné leur signature de commentaires qui montrent bien l’ampleur et les effets ravageurs de ces dérives autoritaristes que nous dénonçons. Bien sûr, ces dérives ne sont pas généralisées (heureusement !...), mais le simple fait qu’elles existent ici ou là est déjà inacceptable.


Voici, donc, ce qu’écrivent nos collègues pour dénoncer ce qu’ils subissent ou pour affirmer leur solidarité pour les victimes de tels abus :

Le rectorat de XXX fonctionne de plus en plus comme un système aristocratique, dans lequel « le Roi est nu » et où chacun, courtisan ou besogneux, salue la beauté inimitable du costume. Dommage, car le recteur a l’énergie, le talent et la volonté qui auraient pu faire bouger les lignes. Ici pas de violence, mais un océan de mots délimitant exactement la géographie du dogme, qui par essence ne se discute pas.

Il faut beaucoup de résilience pour guérir les effets destructeurs de telles situations qui se conjuguent aussi avec le sexisme ordinaire. Quand le mensonge remplace la vérité, c’est intenable. Merci au SIEN.UNSA d’évoquer ce problème.

Je signe parce que je suis en total accord avec le SIEN UNSA.

J’ai déjà été témoin de ce genre d’attitude. Je souscris donc à cette initiative

La maltraitance, le mépris et l’autoritarisme, ÇA SUFFIT !

J’ai eu la chance de travailler dans des environnements de travail stimulants et à l’écoute des personnels avec pour résultat un vrai plaisir d’accomplir mes missions et d’accompagner les écoles et les enseignants avec des projets qui avancent. Mais j’ai trop souvent croisé des collègues qui n’avaient pas cette chance. J’ai une pensée particulière pour eux.

Parce que si ça continue, ça ne va pas durer !!!!

Je suis d’accord avec les arguments relatifs à l’autoritarisme dénoncés dans cette pétition.

Je signe parce que ce coup de gueule est tout à fait fondé et légitime.

Ce type de management est contre-productif et contraire à l’évolution attendue. Le manque de sens crée un malaise générai dans le corps enseignant et chez les cadres. Les injonctions ne correspondent pas aux besoins réels des élèves, des écoles.

Bien que n’ayant moi-même jamais été confronté à ce type de situation, je signe parce que je connais plusieurs collègues de différents départements qui souffrent ou ont souffert de cette forme d’autoritarisme dénoncée par le SIEN.

Dans le contexte actuel d’accélération forcenée du changement sans concertation, je ne reconnais plus mon métier et je suis de plus en plus incapable de lui donner sens. Le mépris affiché de notre institution pour la pédagogie qui permet la prise en compte de tous est pour moi insupportable.

En accord avec le discours.

Je ne sais si la pétition porte bien son nom, mais le sens de celle-ci ne peut que nous mobiliser. La loyauté sans faille des IEN peut amener certains décideurs à faire l’économie d’une réflexion sur ce que devrait être un pilotage, sinon bienveillant, mais reposant sur la confiance. Vous avez dit « confiance » ?

Par solidarité pour mes collègues.

Je signe par soutien avec mes collègues brutalisés, car la pression hiérarchique et l’humiliation subies par des chefs peu respectueux doivent être dénoncées avec vigueur et détermination. À trois reprises, pendant mon activité, j’ai subi de certains IA des violences orales ou hiérarchiques sans raison apparente, ces PETITS CHEFS ignobles ayant après plusieurs années de sévices, été rétrogradés dans leur corps d’origine.

Sans être dans cette situation en ce moment, je sais trop bien que cela existe. La solidarité des IEN a toujours été le meilleur rempart contre ces dérives et leurs effets dévastateurs. Je signe ! Nous pourrions aussi valoriser les bons chefs... prochaine pétition pour « dénoncer » les bonnes dérives et les encourager ?

Par solidarité pour ceux qui sont victimes d’autoritarisme, ce qui je tiens à le préciser n’est pas mon cas.

Je signe par solidarité avec les collègues, victimes de telles pratiques inacceptables et incompatibles avec les valeurs fondatrices de l’École de la République.