Après la guerre, la renaissance du syndicat des inspectrices et des inspecteurs de l'Enseignement Primaire et des Ecoles Maternelles de France et des Colonies...
Le syndicat a son siège 3 rue Récamier à Paris dans l'immeuble où se trouve aujourd'hui encore la Ligue Française de l'Enseignement et de l'Education permanente qui s'y est installée en 1909.
N°08 - 1946 |
N°10 - 1946 |
N°21 - 1950 |
N°22 - 1950 |
N°23 - 1950 |
N°24 - 1950 |
1968 : les combats du syndicat national des inspectrices et des inspecteurs départementaux de l'Education Nationale...
Le syndicat a son siège 10 rue de Solférino à Paris, haut lieu du syndicalisme. En 1934, la Fédération générale des fonctionnaires de la CGT était devenue propriétaire des lieux. Mais, dès 1940, le régime de Vichy ordonna la dissolution des syndicats de fonctionnaires, mesure assortie de la confiscation de leurs biens. Ainsi « libéré », l’immeuble devint durant l’Occupation, le siège du ministère de l’Information chargé de la propagande du régime. Le 18 août 1944, au cours de l’insurrection parisienne, des résistants, issus du syndicalisme fonctionnaire de la clandestinité, reprirent « leur » immeuble les armes à la main, lors de combats avec les miliciens encore déterminés à en découdre. Si bien que, de 1944 à 1978, le 10 rue de Solférino retrouva son identité syndicale des années 1930, accueillant le mouvement syndical des fonctionnaires CGT puis, après la scission de 1948, les syndicats issus de la CGT (UGFF-CGT, FGF-FO et FEN).
Un regard sur l'action du SNIDEN au moment du changement politique de 1981
Le syndicat est installé rue Lalande à Paris, d'abord au n°21, avant d'acquérir les locaux plus spacieux qu'il occupe aujourd'hui au n°23.
N°123.3 - 1980 |
N°123.4 - 1980 |
N°124 - 1982 |
Au début des années 1990, après le nouveau statut, l'avénement du SI.EN issu de la fusion du SNIDEN, du SNIET et du SNIIO