L'expression est libre.
A vos plumes !
Un petit point sur la réforme des retraites. Je me permets de l'illustrer par un un cas que je connais bien, le mien.
Pour répondre (tenter de le faire) à Andromède ou le compléter dans son article sur notre métier et le corps unique des inspecteurs paru dans le dernier bulletin, je souhaite apporter ma modeste pierre à cet édifice Ô combien fragile alors qu’il n’est pas encore actuel.
Dans une « confidence » faite en octobre 2017 au quotidien britannique The Guardian, Emmanuel Macron aurait dit qu’il n’était pas fait pour diriger par temps calme comme son prédécesseur, mais qu’il était fait pour les tempêtes… Ce règne avait six mois, déjà Neptune perçait sous Jupiter.
On peut être admiratif d’une telle prémonition, surtout face à un chef qui dit aujourd’hui encore vouloir garder le cap en accélérant même le rythme de ses réformes. Mais de quel cap s’agit-il ?
Tous ceux qui exercent des responsabilités d’encadrement, dans le secteur privé comme dans le secteur public, se sont un jour posé cette question existentielle du fondement de leur autorité.
Un Noble personnage, le Vicomte Pierre Le Jolis de Villiers de Saintignon (mais si, c’est son vrai nom), vient même de commettre un ouvrage pour y répondre.